Maman ! Maaaman ! Maaaaaaman !
Ah, cette illustration, je ne m’en lasse pas.
Version garçons. Ce petit imprimé écossais bon-chic-bon-genre-garanti-grand-teint, intemporel ô combien, chez nous je le déclinais en chemises…
« Vouih, mon petit coeur, je suis là et je t’écoute. Dis-moi directement ce que tu as à me dire plutôt que de répéter ainsi Maman-Maman – ce qui est, comprends-le, mon ange, légèrement lassant. »
Tellement contente d’être sortie de cette tranche de vie « Môman d’enfants en bas âge », une période que j’ai pourtant adorée quand j’étais en plein dedans…
Épique époque déjà lointaine pour moi. Et, même quand le rythme de mes activités est devenu très, mais vraiment trépidant, ils me maaaaaaanquaient, mes babyschtroumpfs… !!
Aujourd’hui je ne m’aventurerai pas à prétendre que c’est plus calme, oh non. La vie nous réserve de drôles de surprises souvent. Et quand je dis « drôle », je ne m’esclaffe pas pour autant, loin de là. C’est tout bonnement un euphémisme de bienséance, puisqu’ainsi l’on appelle cette figure de style. Et moi, émoi, la bienséance me sied. Mais c’est une autre histoire, toute mon histoire en fait.
Être la Mom préférée de jeunes adultes – je ne peux raisonnablement plus les qualifier d’adulescents – demande tout autant de patience, d’empathie… et d’abnégation (mais pas du tout d’apnée Gaston, comme l’écrit mon smartphone si smart… mdr… vous voyez, il recommence, je n’invente rien !) Gaston, voilà bien un autre anti-héros que j’adore, lui aussi.

Wouah ! Les mamans ne parlent pas assez, je crois … Les matamores d’aujourd’hui oublient trop souvent qu’ils sont passés par la case « bébé » et qu’ils devraient mettre la pédale douce devant leur mère, en particulier (souvent le cas, quand même), mais plus généralement devant toutes les femmes, seules capables de mener tant de métiers de front … 😉
Amitiés
Philippe
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