Cette limite qu’on ne peut dépasser
Je suis dans le train, comme tous les soirs, mais ce soir les nuages dans le ciel de l’ouest parisien ont des formes extraordinaires, tout aplatis au-dessous, un peu comme ces pommiers à la campagne dans les champs où les vaches broutent tout, feuilles et branches, jusqu’à la limite qu’elles ne peuvent plus dépasser même en tendant le cou bien haut.
Et moi, émoi, je pense, et je pense, et mon esprit divague, dit vagues et bien plus encore.
Mais c’est une autre histoire, toute mon histoire en fait.
Et nous alors, elle est où, la limite qu’on ne peut plus dépasser, même en tendant le cou – et le dos bien entendu – aussi haut que possible ?
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