Bouillie, et bien essorée, je vous prie.
Oh, avec un nuage de lait si vous voulez..
L’alcool, j’en ai connu une qui affirmait que ça l’aidait à tenir le coup.
Le coup jeté derrière la cravate ou la lavallière, les coups en douce, les coups à force, ceux qu’on reçoit en plein cœur aussi, si vous voyez ce que je veux dire.
Qu’importe d’ailleurs que je veuille le dire ou qu’on me l’interdise, qu’importe que vous voyiez, ou pas, vu qu’elle n’est plus là pour en parler.
Informer, infirmer, confirmer.
Convaincre, pour autant que ce soit possible, qu’elle ne disait pas n’importe quoi.
Et moi non plus. Merde quoi.
Mais c’est une autre histoire, toute notre histoire en fait.
Alors moi, plutôt que de pleurer, tempêter ou crier… j’écris.
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