Elles ont subi ce qu’endurent les roses

Sous mon pas nu grise l’ardoise.
Fraîcheur, senteur, doux souvenir de nos langueurs.
Quatre fleurs, si chères à mon coeur,
Sont mon premier bonjour du jour
Et bien sûr aussi son bonheur.
Si vite, si vite décloses,
Elles ont subi ce qu’endurent les roses.

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